Alors que le mercato a fermé ses portes, les supporters des Leprechauns s'inquiètent pour la saison à venir de leur club de coeur. Avec une unique arrivée pour 4 départs, le recrutement s'annonce moindre pour un club qui semble avoir subit de plein fouet son ascension prématurée dans l'élite simtopienne et par conséquent sa participation à une coupe européenne.

UNE PREMIERE EUROPEENNE REUSSIE MAIS ...

Sur le papier, le parcours de Saint-Patrick en Conference League peut paraître plus qu'honorable pour un club de cette stature (défaite en quarts de finale face au futur vainqueur, simtopien qui plus est, Kattegat). Mais le club a eu du mal à encaisser un tel calendrier. Des sorties prématurées peu glorieuses dans les coupes nationales, et un retour dans le ventre mou du tableau, après un début de saison catastrophique au fin fond du classement de SL1, sont la conséquence d'un cascade de blessés au sein de l'effectif d'Henry Griffiths.

UN MERCATO RATE ?

Avec la seule arrivée de Samuel Bastin, le mercato du club paraît léger pour retrouver le haut du classement de SL1. Un Benedetto vieillissant n'a, par exemple, pas été remplacé pour épauler un Dylan Browne qui porte l'équipe à bout de bras.

"Avec l'absence de compétition européenne cette saison, nous avons décidé de miser sur la continuité dans le groupe, sans l'étoffer outre mesure. Nous ferons des ajustements cet hiver si l'équipe ne tourne pas à plein régime.", nous explique Henry Griffiths.

Il est vrai que les Leprechauns ont déjà procédé de cette manière, lors de la saison 2021/22, mais pourront-ils réitérer l'exploit ? Un coup d'oeil du côté de l'infirmerie de Saint-Patrick sera sûrement une des réponses.

UN CENTRE D'ENTRAINEMENT EN CONSTANTE AMELIORATION

Un aspect sur lequel le club ne compte pas ses sous, ce sont les infrastructures. Nos sources annoncent pas moins de 7M$ dépensés cet été pour faire passer le centre d'entraînement à un niveau supérieur, un peu à l'image de Leicester ces dernières années, qui privilégie son centre 5 étoiles à des transferts clinquants.

LE MOT DE LA FIN : DYLAN BROWNE

"La saison dernière a été longue et éprouvante pour les organismes. Nous n'étions pas habitués à jouer autant de matchs et cela s'est senti. Tout n'est cependant pas à jeter. Un quart de finale de Conference League, certains auraient signé tout de suite et c'est une belle aventure. Nous revenons cependant avec l'envie de faire mieux et il faudra compter sur nous cette saison !"