Sie sind die Besten, ils sont les meilleurs... La revoilà, avec ses grandes oreilles : la Ligue des Champions, pour la 3e journée de la phase de poules. Encore une fois, du très lourd au programme pour les clubs simtopiens : Porto, Manchester City et le PSG ! Comment s'en sont sorti nos représentants ?

 

SK DVALINN - FC PORTO

Encore une rencontre compliquée pour Dvalinn. Cette découverte de la Ligue des Champions s'apparente à un long chemin de croix pour les Cerfs et Porto est une étape supplémentaire. Bousculés mais tenant bon, les joueurs de Dvalinn ont livré une première période appliquée en défense mais fade en attaque. Porto cherchait très souvent la profondeur pour les pieds -principalement- d'Evanilson. Comme souvent, Anthony Lapeste était le meilleur de son côté et garda ses cages inviolées.

En seconde période, les choses s'accélérèrent un peu, Porto sentant qu'il y avait la place pour prendre de bons points de ce déplacement à Dvalinn. Après l'heure de jeu, à force de faire des passes en arrière, en espérant trouver l'ouverture, Porto subtilisa le ballon et trouva Evanilson côté droit. Sans réfléchir, l'attaquant des Dragões expédia un missile dans la lucarne gauche de Lapeste, pris au dépourvu, touchant le ballon mais sans le sortir du cadre. Dvalinn chancelait, mais comme souvent, Bakambu allait les remettre à l'endroit. Bien servi par Visca depuis le côté droit, Bakambu réalisa la même percée qu'Evanilson quelques instants plus tôt, à la différence que cette fois, ce fut une superbe frappe croisée rasante qui alla trouver le petit filet au second poteau. Dvalinn prenait enfin la mesure de son adversaire et commençait à peser dans la rencontre. Mieux, les Cerfs pensaient avoir fait un pas définitif vers la première victoire du club dans cette phase de poules, quand Lapeste trouva Visca sur un long dégagement, seul à droite, complètement oublié au marquage par Porto. L'ailier s'enfonça vers la surface de réparation pour placer une frappe au ras du premier poteau de Marchesin, qui plongea trop tardivement pour sortir le tir. Avec une dizaine de minutes à jouer, l'affaire semblait jouée pour Dvalinn. Patatras à la 92e minute ! Un dernier corner, bêtement concédé, bien frappé par Tecatito pour la tête de Leite au premier poteau. Dvalinn concède le nul à la dernière seconde... Comme une impression de déjà-vu.

 

Groupe G
Rennes - Dortmund : 2-3

1- Dortmund 7 pts
2- Porto 4 pts
3- Rennes 3 pts
4- Dvalinn 2 pts

 

 

MANCHESTER CITY - SPREMBERG BK

Gros morceau pour les Sprembergeois avec ce déplacement en Angleterre pour affronter City. Ce fut une bérézina. Les Sprembergeois n'ont pas existé ce soir. Pourtant, les Simtopiens étaient venus avec quelques intentions de jeu, à en voir le schéma tactique utilisé (4-2-3-1), mais jamais ils ne parvinrent à mettre Ederson en action. Les Ours du  Vostok n'ont pas tiré une seule fois de la rencontre. Au mieux, ils ont tourné autour de la surface de réparation anglaise, avant de s'en faire déloger avec pertes et fracas. Du côté de City, ça a déroulé tranquillement. Bernardo Silva puis De Bruyne ont vite fait le break, en 6 petites minutes. A la 24e minute, John Stones acheva les derniers espoirs simtopiens, puis Laporte ajouta un nouveau clou au cercueil du match, à la 39e minute. 4-0 à la pause, Manchester pouvait faire tourner sans trop se fatiguer.

La seconde période fut anecdotique, tant les Sprembergeois étaient déjà tournés vers leur prochaine rencontre de S-Ligue 1 à Jugerborg. Après le 4-0 concédé contre les Aguazul Papaya, cette première mi-temps en Angleterre laisse craindre une profonde crise cet automne pour les Sprembergeois. Pour ne rien arranger aux affaires, Ferran Torres rajouta un but dans la besace de Kalinic, qui fut peut-être le meilleur sprembergeois ce soir. Une manita, voilà tout ce qu'il fallait pour enfoncer un peu plus les Sprembergeois dans le doute.

 

Groupe B
Benfica - Zenit : 3-2

1- City 7 pts
2- Benfica 4 pts
3- Zenit 2 pts / -1
4- Spremberg 2 pts / -5

 

 

AGUAZUL PAPAYA - PARIS SAINT-GERMAIN FC

En avril 2020, les Aguazul Papaya avaient réussi un tour de force en éliminant le PSG en quart de finale de la Champions League (2-2, 3-1), puis finalement échouer en demies contre Liverpool. A l'époque, cela était plutôt vu comme un exploit. L'occasion de voir si la chance est encore au rendez-vous ce soir, face à l'armada parisienne qui a débarqué à Aveiro, jugez plutôt : Donnarumma, Bernat, Ramos, Marquinhos, Hakimi, Wijnaldum, Verratti, Neymar, Rafinha, Mbappé et Messi. Rien qu'en lisant la feuille de match, il y a de quoi prendre peur et déclarer forfait. Mais les Iguanes ont la peau dure et, même archi-dominés, ils n'ont jamais abandonné ce soir. Le PSG avait pourtant fait peser la balance de son côté en ouvrant la marque par Bernat, à la 22e minute, après une fixation dans la défense de trois Iguanes par Neymar, qui passa en retrait au latéral parisien. Ce dernier, comme souvent, transperça la défense pour arriver dans la surface et placer une frappe dans la lucarne de Ramioche. Imparable, mais insuffisant pour démobiliser les Iguanes. Lilian Stephan put montrer qu'il n'y a pas qu'en France qu'une Ligue des Talents existe. Une remontée de balle de 60 mètres ponctuée d'une frappe tonitruante dans la surface, après avoir lâché 4 Parisiens qui ont tenté de lui coller aux basques, et les Aguazul égalisaient. Messi a dû apprécier le mouvement, lui qui s'est déjà illustré dans le passé avec ce genre d'action. La pause à 1-1 était logique, même s'il faut reconnaître que les Iguanes ont surtout tenté en contre-attaque, jouant en porc-épic devant leurs cages pour empêcher la MNM de donner sa pleine mesure.

En seconde période, le schéma demeura identique : Paris attaquait à tout-va, Aveiro défendait bec et ongles. Ramioche écoeura les attaquants parisiens, sortant des parades de l'au-delà, à bout portant, parfois à "bout-tirant". Une rencontre de haut vol qui fit de lui l'homme du match. Et ses coéquipiers, fidèles à la tactique ultra-défensive décidée par Nitroglicerin, tenaient bons et attendaient leur moment. A la 52e minute de jeu, celui-ci se présenta à eux, en deux temps. Stefanik, récupérant le ballon dégagé de son corner, remit le cuir au coeur de la mêlée. Le ballon traversa l'amas de joueurs pour arriver devant Volland qui le laissa rebondir une fois pour mieux placer sa volée du gauche. Donnarumma s'inclinait pour la seconde fois de la partie. Les Aguazul prenaient la tête et ne la lâchèrent plus jusqu'au coup de sifflet final. Les Iguanes signent une magnifique victoire qui les met en position de force avant la phase retour, qui débutera par un voyage à Paris. L'occasion d'un nouvel exploit ?

 

Groupe C
Stuttgart - Barcelone : 2-1

1- Aguazul Papaya 6 pts
2- PSG 4 pts / +1
3- Stuttgart 4 pts / 0
4- Barcelone 3 pts

 

 

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