Nous revoici en Conference League pour la demi-finale retour entre Kattegat IF et l'AS Monaco. Ce soir, à Louis-II, les Canaris ont l'occasion d'écrire une grande page de l'histoire du football simtopien, à condition de bien passer le Rocher monégasque.
AS MONACO FC - KATTEGAT IF
Sans se départir de son schéma de jeu, plutôt tourné vers l'avant, les Canaris sont arrivés en terre monégasque avec l'intention de ne pas exclusivement subir pendant toute la rencontre. Lothbrok avait un plan en tête, il ne restait qu'à espérer qu'une ouverture pour tenter de le réussir. Monaco s'installa rapidement dans la moitié de terrain simtopienne, multipliant les déboulés sur les ailes, pour des centres ou des frappes hors cadre. Hradecky n'eut pas beaucoup à faire pour éloigner le danger, mais sur les rares situations, il se montra déterminant. Kattegat subit beaucoup, mais plaça un contre ou deux, pendant cette première période. Sans inquiéter Nübel pour autant. La guerre des nerfs s'intensifiait progressivement. Les Canaris tenaient bon.
En seconde période, les Monégasques continuèrent de pousser sur la défense de Kattegat, mais Cuesta et Santillan se donnaient à 200% pour empêcher Wissa Ben Yedder de les déposer, ou de pouvoir se mettre en position de tir. L'international français fut bien cadenassé par la charnière centrale, et ce fut plutôt les ailiers Baldé et Gelson Martins qui -finalement- portèrent les coups de boutoir les plus impressionnants. Sur son côté gauche, Lars Almi répondit présent. A droite, ce fut plus difficile pour Arias, mais il put compter sur le soutien de Rudy. Les Canaris, dépassés, mais pas coulés, montrèrent ce qu'esprit d'équipe voulait dire. Chaque joueur était là en soutien de son coéquipier. Sans être meilleurs que les Monégasques, les joueurs de Kattegat rendirent une partition collective parfaite. Arc-boutés sur leurs 18 mètres, ils tinrent bon et c'est avec une joie folle que les Canaris accueillirent le coup de sifflet final.
Kattegat l'a fait, il devient le premier club simtopien à se qualifier pour une finale de coupe d'Europe. Les Canaris ne sont plus qu'à un match du bonheur ultime, mais il faudra battre Leicester à la fin du mois. Au vu de la saison en Conference League, l'espoir est permis. Il n'y a, de toute façon, rien à perdre.