Et c'est reparti pour une année de Champions League, pour trois représentants à Simtopia : le champion Dvalinn, le "Poulidor" des Aguazul et le régional de l'étape Spremberg. Les trois équipes possèdent le même objectif, dans un premier temps : ne pas arrêter la compétition à la phase de poules.

 

 

SPREMBERG BK - ZENIT SAINT PETERSBURG

Après une année blanche, sans Europe, Spremberg retrouve des terrains qu'il connaît bien. Pour ouvrir sa phase de groupe, le doyen de la S-Ligue 1 recevait le Zenit St-Petersburg, un bon moyen de vite s'étalonner dans la compétition. Après les salutations d'usage et un bon quart d'heure d'observation l'accompagnant, le jeu put prendre son envol. Sur un tacle dans la surface de réparation sur Armstrong, du milieu défensif Barrios, Spremberg eut l'opportunité d'ouvrir la marque par Ilicic. Enfin, aurait pu ouvrir la marque, si le portier Brusnikin ne s'était pas étendu de tout son long pour sortir le tir d'Ilicic. Spremberg piochait un peu, après cet échec, mais le Zenit ne se montrait pas vraiment dangereux sur les buts de Kalinic. Régulièrement, la pointe Adémi était recherchée dans la profondeur par ses latéraux offensifs Bruno Henrique et Armstrong. Ilicic, pour sa part, tournait autour d'Adémi, en combinant le plus possible pour déstabiliser la défense russe. En vain.
Au retour des vestiaires, le schéma demeura identique, avec un Spremberg offensif, prenant complètement la mesure de son adversaire. Les Russes jouaient en contre, mais butaient toujours sur un défenseur simtopien. Toutefois, c'est sur un énième contre que la rencontre bascula, avec l'aide involontaire de Toprak qui défendait bien trop bas, couvrant Azmoun au moment de sa frappe. Deux pas de plus pour remonter et le buteur russe aurait été hors-jeu. Cela refroidit quelque peu le Stade du Phénix, mais les Sprembergeois n'abdiquèrent pas, restant fidèles à leur schéma de jeu. Sur une superbe passe d'Escudero de la gauche pour l'axe, dans la profondeur, Adémi récupéra le ballon et s'en vint battre à bout portant le portier du Zenit. Les forces s'équilibraient mais, à l'orée du money time, ce même Escudero ne défendit pas assez sur corner au moment de la reprise de la tête de Prikhodko au second poteau (85e). Spremberg semblait se diriger vers une défaite frustrante, quand Super Adémi arriva pour sauver les siens, avec Escudero pour le pardon. Un centre apparemment trop long au second poteau, de la gauche vers la droite, mais surtout vers la reprise de volée d'Adémi pour la lucarne gauche de Brusnikin (90e+4). Spremberg obtient le nul, mais avec un peu plus de constance, aurait pu accrocher la victoire.

Manchester City - Benfica : 3-0

1- Man. City 3 pts
2- Spremberg BK 1 pt
3- Zenit 1 pt
4- Benfica 0 pt

 

 

AGUAZUL PAPAYA - VfB STUTTGART

A Aveiro, la Ligue des Champions reste associée à l'excellent parcours réalisé lors de la saison 2018-2019, et une demi-finale perdue contre Liverpool FC. L'an passé, les Iguanes ne purent faire mieux qu'un huitième de finale en Europa League. Autant dire que les Simtopiens reviennent dans la grande compétition avec l'envie d'effacer la campagne précédente et de retenter un parcours comme en 2019. Pour cela, il fallait bien commencer la phase de groupe contre le premier adversaire : le VfB Stuttgart. Jamais simple contre un club allemand, mais pas infaisable. Pas d'observation dans cette rencontre, les deux équipes placèrent rapidement leurs pions et les premières occasions arrivèrent pour mettre en avant Ramioche et Müller, les portiers des deux clubs. Sérieux en défense, les Iguanes firent progressivement pencher la balance de leur côté, ponctuant un temps fort par un but de Moussa Marega. Alors que ça combinait à droite, au milieu de terrain, Derrick vit l'appel croisé de Marega dans la surface. Une passe aérienne plus tard, Marega contrôlait pied gauche puis enchainait une frappe croisée du droit. Limpide (38e) et pile au bon moment, avant la pause.
A la reprise, le match fut plus équilibré, les Aguazul cherchant à colmater les petites brèches défensives apparaissant ici ou là. Stuttgart pesait mais manquait de lucidité dans le dernier geste. Bader mangeait régulièrement la feuille. Le dernier quart d'heure arriva et les Aguazul Papaya eurent la bonne idée de faire le break, bien aidés aussi par l'expulsion à la 72e minute de Merk. Marega, héritant du ballon à 20 mètres, dos au but, décala sur l'aide Stephan. Ce dernier perça sur son côté et recentra pour la tête de Marega, placée à contre-pied (77e). Les Iguanes se pensaient alors à l'abri, mais la raison leur revint brutalement, quand sur le coup d'envoi Silas lança sur un centre Bader. Ramioche, complètement hors du coup, encore à fêter le but, sortit à contre-temps et rata le ballon. Bader esquiva bien le portier pour aller reprendre le cuir et réduire la marque (78e). Cette fois, les Aguazul Papaya arrêtèrent de jouer et verrouillèrent le jeu, parvenant à conserver les trois points de la victoire.

PSG - FC Barcelone : 5-3

1- PSG 3 pts
2- Aguazul Papaya 3 pts
3- VfB Stuttgart 0 pt
4- Barça 0 pt

 

 

STADE RENNAIS - SK DVALINN

Le Stade Rennais revient en Ligue des Champions et se retrouve sur la route du champion simtopien Dvalinn. Les Cerfs se sont fait les bois la saison passée en Europa League et, même si ce ne fut pas simple comme apprentissage, l'expérience accumulée devrait servir cette saison. Ce fut une rencontre particulièrement enlevée pendant la première période, avec des occasions de part et d'autres et, surtout, des buts. Une petite dizaine de minutes de folie durant laquelle Dvalinn démontra toutes ses qualités, parvenant à ouvrir la marque par Bakambu (22e). Une superbe contre-attaque lancée par Houvarc'h, qui remonta plein axe le terrain avant de décaler dans la profondeur Bakambu côté gauche. Le portier Gomis sortit au devant de l'attaquant de Dvalinn, mais ce dernier piqua une merveille de balle qui échut au pied du second poteau. Tanfin et Meling étaient trop courts pour venir dégager le ballon. Cela eut pour effet de décupler les chants du kop du Roazhon Park. Ce soutien trouva rapidement un écho avec Le Sourne à la conclusion d'un enchainement de passes courtes aux abords de la surface. Oublié au marquage, côté gauche de la surface, Le Sourne arriva avec le bon timing pour placer une volée croisée du gauche qui laissa Lapeste pantois sur sa ligne (25e). Et le grain de folie breton dura encore quelques instants, avec en point d'orgue un Niang de retour au club, qui s'élève plus haut que tout le monde sur un long coup-franc, et qui croise bien sa tête pour la mettre hors de portée des gants de Lapeste (30e). L'enjeu reprenait alors le pas sur le jeu et la première période se termina calmement.
En seconde période, Rennes joua avec le frein à main bien tiré et durcit quelque peu son jeu au milieu de terrain, empêchant Visca et Houvarc'h de déclencher quoi que ce soit sur leurs ailes. Bakambu erra comme une âme en peine, tout seul en pointe, pendant cette deuxième mi-temps. Le coach des Cerfs tenta bien d'arracher un quelque chose, en terminant la rencontre avec trois attaquants, mais rien n'arriva. Dvalinn concède la défaite, assez logiquement, mais peut envisager autre chose qu'un rôle de figurant dans ce groupe.

Borussia Dortmund - Porto : 3-0

1- Dortmund 3 pts
2- Rennes 3 pts
3- SK Dvalinn 0 pt
4- Porto 0 pt